Vintage CDV Paul François Jean Nicolas, Viscount De Barras E.Neurdein photo for Sale

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Vintage CDV Paul François Jean Nicolas, Viscount De Barras E.Neurdein photo:
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Consultez mon autres éléments!Paul François Jean Nicolas, vicomte de Barras (30 juin 1755 - 29 janvier 1829) était un homme politique français de la Révolution française et le principal dirigeant exécutif du régime du Directoire de 1795 à 1799.Contenu [masquer] 1 Première vie2 Convention nationale3 Thermidor et le Directoire4 Chute et vie ultérieure5 Notes6 RéférencesPremière vie[modifier]Descendant d'une famille noble de Provence, il est né à Fox-Amphoux, dans l'actuel département du Var. A l'âge de seize ans, il entre au régiment du Languedoc comme "gentleman cadet". En 1776, il s'embarqua pour les Indes françaises. Après un voyage mouvementé, il atteignit Pondichéry et contribua à la défense de cette ville lors de la seconde guerre anglo-Mysore, siège qui se termina par sa reddition à la Grande-Bretagne le 18 octobre 1778. A la libération de la garnison, Barras rentre en France. Après avoir participé à une seconde expédition dans la région en 1782-1783, il quitte l'armée et passe les années suivantes dans une relative obscurité. un des administrateurs du Var. En juin 1792, il siège à la haute cour nationale d'Orléans. Plus tard cette année-là, lors du déclenchement des guerres de la Révolution française, Barras devint commissaire de l'armée française, qui faisait face aux forces de la Sardaigne dans la péninsule italienne, et entra à la Convention nationale en tant que député du Var. En janvier 1793, il voté à la majorité pour l'exécution du roi Louis XVI. Cependant, il était la plupart du temps absent de Paris pour des missions dans les régions du sud-est de la France. Durant cette période, il fait la connaissance de Napoléon Bonaparte au siège de Toulon (son affrontement ultérieur avec Napoléon lui fait minimiser les capacités de ce dernier en tant que soldat : il note dans ses Mémoires que le siège a été mené par 30 000 hommes contre un mineur défenseur royaliste, alors que le nombre réel était de 12 000 ; il cherchait aussi à minimiser la part prise par Bonaparte dans la prise de la ville).[1]Thermidor et Directoire[modifier] Caricature de James Gillray de 1805. Barras diverti par la danse nue de deux épouses d'hommes éminents, Thérésa Tallien et Joséphine BonaparteEn 1794, Barras se range du côté des hommes qui cherchent à renverser la faction de Maximilien Robespierre. La réaction thermidorienne du 27 juillet 1794 le fait connaître. L'année suivante, lorsque la Convention se sent menacée par les gardes nationaux mécontents de Paris, elle nomme Barras à la tête des troupes. engagés dans sa défense. Sa nomination de Bonaparte entraîne l'adoption de mesures violentes, assurant la dispersion des royalistes et autres mécontents dans les rues proches du palais des Tuileries, rappelé comme le 13 vendémiaire (5 octobre 1795). Par la suite, Barras est devenu l'un des cinq directeurs qui contrôlaient l'exécutif de la République française. En raison de ses relations intimes avec Joséphine de Beauharnais, Barras a contribué à faciliter un mariage entre elle et Bonaparte. Certains de ses contemporains ont allégué que c'était la raison de la nomination de Bonaparte par Barras au commandement de l'armée d'Italie au début de l'année 1796. Le succès de Bonaparte donne au Directoire une stabilité sans précédent, et lorsque, à l'été 1797, l'opposition royaliste et girondine survivante rencontre à nouveau la résistance du gouvernement, Bonaparte envoie le général Augereau, un jacobin, réprimer leur mouvement lors du coup d'État du 18 fructidor. (4 septembre 1797). Chute et vie ultérieure [modifier] L'immoralité présumée de Barras dans la vie publique et privée est souvent citée comme une contribution majeure à la chute du Directoire et à la création du Consulat. Quoi qu'il en soit, Bonaparte rencontra peu de résistance lors de son coup d'État du 18 brumaire en novembre 1799. En même temps, Barras est considéré comme un partisan du changement, un laissé de côté par le Premier Consul lorsque ce dernier a remanié le gouvernement de la France. Comme il avait amassé une grande fortune, Barras a passé ses dernières années dans le luxe. Napoléon le fait confiner au château de Grosbois (propriété de Barras), puis exilé à Bruxelles et à Rome, et finalement, en 1810, interné à Montpellier ; libéré après la chute de l'Empire, il mourut à Chaillot (aujourd'hui Paris), et fut inhumé au cimetière du Père Lachaise.
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