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Mistinguett, Happiness in Hand, 1912 Vintage Silver Print, Jeanne Florent For Sale


Mistinguett, Happiness in Hand, 1912 Vintage Silver Print, Jeanne Florent
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Mistinguett, Happiness in Hand, 1912 Vintage Silver Print, Jeanne Florent:
$325.61

Mistinguett, le bonheur sous la main, 1912 [MO5605]Catégorie :Cinéma, théâtre, variété
Année : 1912
Type : Tirage argentique mat
Format (cm): 20x25Vintage silver print,
Jeanne Florentine Bourgeois, dite Mistinguett, née à Enghien-les-Bains le 3 avril 1875 et morte à Bougival le 5 janvier 1956, est une chanteuse et actrice française.
Fille d'Antoine Bourgeois, travailleur journalier de 31 ans, et de Jeannette Debray, couturière de 21 ans, Jeanne Florentine Bourgeois naît au 5 de la rue du Chemin-de-Fer (actuelle rue Gaston Israël) à Enghien-les-Bains. La famille travaillant comme garde barrières déménage à Soisy-sous-Montmorency où elle passe son enfance.

Après avoir suivi des cours de danse, de théâtre, de chant et de maintien avec l'actrice de vaudeville Alice Ozy, elle commence sa carrière en 1885 : dans le train qui l'amène à Paris pour ses leçons de violon avec Boussagol de l'Opéra de Paris, elle rencontre Saint-Marcel, responsable de revue au Casino de Paris qui l'engage pour le lever de rideau : le 5 décembre 1893, elle monte sur scène avec le trac, entonnant son air La Mome du Casino. Elle cherche sa vocation, sa voix et son nom de scène. Saint-Marcel lui donne le surnom de Miss Hélyett (s'inspirant du nom de l'héroïne de Miss Helyett, l'opérette en vogue de Maxime Boucheron et Edmond Audran alors à l'affiche aux Bouffes-Parisiens depuis fin 1890), déformé peut-être phonétiquement par le caprice de ses employeurs en Miss Tinguette, Mistinguette, et pour simplifier elle supprime le e final afin de donner plus de force au graphisme. Elle entre en 1894 au Trianon-Concert où elle lance Max, Ah c'que t'es rigolo, mais sans grand succès.
De 1897 à 1907, elle se produit à l'Eldorado en chanteuse comique, en « gommeuse épileptique », en gigolette, et découvre petit à petit l'art de tenir la scène. Après avoir appris à pallier son insuffisance vocale par un brin de comédie, une mimique unique, une voix gouailleuse et des pas de danse, elle en sort vedette consacrée. Le public commence à l'aimer.

Elle se rapproche de sa tante, qui était matelassière à Montlignon, en achetant une maison, dans le même village, où elle donne naissance, le 8 juillet 1901, à un enfant naturel, Léopold-Marcel-Jean Bourgeois. Le père, Léopold de Lima, reconnaît son fils le 27 mars 1903.
Jusqu'en 1914, elle alterne pièces de théâtre, revues et cinéma muet, expériences qui lui seront profitables pour devenir finalement la « Mistinguett » telle qu'on la connaît et telle qu'elle le restera jusqu'à la fin de sa longue carrière.

En 1909, Max Dearly la choisit comme partenaire pour créer la « valse chaloupée » dans une revue du Moulin Rouge. Puis, dans la revue La Revue, c'est La Valse renversante avec Maurice Chevalier aux Folies Bergère en 1912, qui donnera lieu à une histoire d'amour longue de dix ans. Le couple est surnommé par la presse « les danseurs obsédants ».
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, Maurice Chevalier est blessé au front et fait prisonnier en Allemagne. Voulant le faire libérer, elle se porte volontaire pour jouer le rôle d'espionne. Elle offre ses services au général Gamelin et est autorisée à circuler librement en Europe : elle récolte de nombreux renseignements du prince allemand de Hohenlohe alors à Berne ou du roi Victor-Emmanuel III en Italie. Elle parvient à faire libérer son amant en 1916 grâce à ses relations avec le roi d'Espagne Alphonse XIII.

En 1918, elle succède à Gaby Deslys au Casino de Paris, sous la direction de Léon Volterra, dont elle reste la vedette incontestée jusqu'en 1925. Dans les années 1920, elle enchaîne les opérettes à succès : Paris qui danse, Paris qui jazz, En douce, Paris qui Brille!, Ça, c'est Paris. Durant cette période, avec successivement Harry Pilcer, Earl Leslie, Jean Gabin, Lino Carenzio, Georges Guétary, elle est la Miss des grandes revues qui feront accourir le tout Paris.
À partir de 1916, elle s'entiche d'un tout jeune affichiste de 16 ans nommé Charles Gesmar. Jusqu'à ce qu'il meure en 1928, il lui dessine nombre d'affiches et de costumes qui font sa gloire dans les années 1920. Il est son confident au point d'habiter sur son palier et de la surnommer « Maman ».

Elle est la vedette du grand bal d’ouverture du Copacabana Palace, à Rio de Janeiro, en 1923.
Devenue une gloire nationale, elle chante Ça c'est Paris composé par Jose Padilla, Mon homme sur les paroles d'Albert Willemetz, qui écrit aussi pour elle de nombreuses chansons et revues pour les Folies Bergère et jusqu'aux États-Unis. Image type de la Parisienne, elle fut en concurrence avec Joséphine Baker. En 1937, elle tourne son premier film parlant, Rigolboche.

Elle meurt début 1956 à Bougival d'une congestion cérébrale à l'âge de 80 ans. Elle est enterrée dans sa ville natale.
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